Les derniers Présidents français nous avaient déjà fait le coup du repentir.
Un palier supérieur vient d’être franchi dans la repentance européenne envers l’Africain.
C’est maintenant au niveau continental que cela se passe. Le 26 mars 2019 nos chers élus, chers notamment au sens pécuniaire, se sont permis de sortir de leur domaine de compétence et de prendre une posture morale engageant les Européens sans les consulter.
Tous les Blancs européens développeraient une « forme de racisme » qui serait « le fruit des structures historiquement répressives du colonialisme et de la traite transatlantique des esclaves, comme l’a reconnu le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe ».
On voit ici que les euro-députés pratiquent allègrement l’amalgame puisqu’ils m’incluent dans le nombre des Blancs qui auraient une dette envers l’Africain alors que je n’ai jamais mis les pieds sur le noir continent.
Remarquez, la logique des euro-députés actuels appliquée aux musulmans conduirait à affirmer qu’ils sont tous des terroristes, des génocidaires, des criminels et violeurs qui doivent repentance, et qu’ils vont devoir payer pour tout ce qu’ils ont fait aux mécréants et mécréantes d’Europe depuis Mahomet. C’est ce que j’attendrais d’une nouvelle majorité avec Messieurs Orban, Salvini et Marine Le Pen et affiliés.
Rien que la perspective d’une telle résolution européenne est une incitation forte à aller voter pour tous les patriotes.
Il n’empêche, chaque Européen qui se voit endetté envers l’Africain pour des actes qu’il n’a jamais commis est en droit de demander des comptes, et de sérieux comptes, à son eurodéputé actuel qui aurait voté cette ignominie en son nom sans consultation préalable.
Dans la vie d’une société, un dirigeant qui l’engagerait ainsi sans qu’il en ait reçu le mandat des actionnaires pourrait être révoqué sans délai par une assemblée générale convoquée en urgence.
C’est bien ce qui manque dans les codes électoraux des démocraties : pouvoir révoquer immédiatement l’élu qui prend des décisions qui outrepassent le mandat initial.
Le plus grave, c’est la manière de rédaction de la résolution adoptée qui vise à anéantir les droits et la culture des Européens historiques.
Prenons la première invite combinée à l’invité numéro 23 :
« 1. invite les États membres et les institutions européennes à reconnaître que les personnes d’ascendance africaine sont particulièrement exposées au racisme, à la discrimination et à la xénophobie et, de manière générale, jouissent de façon inégale des droits de l’homme et des droits fondamentaux, ce qui est la définition même du racisme structurel, et qu’elles doivent bénéficier, à titre individuel et collectivement, d’une protection contre ces inégalités, y compris par des mesures positives visant à promouvoir la jouissance pleine et égale de leurs droits »;
« 23. invite la Commission et les États membres à garantir aux migrants, aux réfugiés et aux demandeurs d’asile, en tenant compte des législations et des pratiques existantes, des voies d’entrée sûres et légales dans l’Union »;
L’octroi de droits, au surplus de droits discriminatoires supérieurs aux droits des habitants historiques ( mesures positives), n’est plus subordonné à l’obtention de la nationalité du pays hôte, ce que confirme le considérant A :
« A. considérant que le terme « personne d’ascendance africaine » recouvre les termes « Afro-européen », « Noir européen », « Afro-caribéen » ou « Noir antillais » et fait référence aux personnes d’ascendance africaine qui sont nées ou vivent en Europe ou en ont la citoyenneté; »
Il suffit que la personne d’ascendance africaine vive en Europe, ce qui inclut ceux qui entrent par voie clandestine, pour obtenir des droits supérieurs au citoyen qui paie des impôts et des cotisations sociales depuis son entrée dans la vie active, depuis 40 ans peut-être.
Comme se serait exclamé le Grand Timonier, la CSG des retraités français n’a pas fini son grand bond en avant.
Outre la prise en charge par les états membres, les fonds européens vont être fléchés pour plusieurs années comme le montre le paragraphe 13 :
« 13. invite la Commission à intégrer la question des personnes d’ascendance africaine parmi les priorités de ses programmes de financement actuels et de ceux de la prochaine période pluriannuelle »;
Les subventions aux associations doivent être largement augmentées :
« 12. souligne l’importance des organisations de la société civile dans la lutte contre le racisme et les discriminations et appelle de ses vœux un accroissement du soutien financier apporté aux organisations sur le terrain aux niveaux européen, national et local ; »
L’accès au logement doit aussi être fléché positivement :
« 22. demande aux États membres de combattre les discriminations à l’égard des personnes d’ascendance africaine sur le marché immobilier et de prendre des mesures concrètes contre les inégalités dans l’accès au logement, garantissant ainsi une offre de logements adaptée »
Et l’accès à l’emploi favorisé :
« 21. invite les institutions de l’Union et les États membres à promouvoir et à soutenir les initiatives favorables à l’emploi, à l’entreprenariat et à l’émancipation économique des personnes d’ascendance africaine aux fins de lutter contre les taux de chômage anormalement élevés et les discriminations sur le marché du travail dont elles sont victimes »
Le paragraphe 16 conduit à une nette discrimination :
« 16. demande aux États membres d’adopter une réaction efficace au regard des crimes haineux, notamment par la prise en compte, dans les enquêtes pénales, des motivations discriminatoires fondées sur la race ou l’origine ethnique ou nationale, et de faire en sorte que les crimes haineux à l’encontre des personnes d’ascendance africaine soient enregistrés et donnent lieu à une enquête, à des poursuites et à des sanctions ».
Seuls les crimes haineux contre les personnes d’ascendance africaine doivent impérativement être enregistrés et donner lieu à enquête pénale, on en déduit que les autres victimes, les habitants historiques d’Europe, ne méritent aucune considération.
Or chacun sait en France que depuis quelques années, la plupart des victimes de la haine sont les habitants historiques du pays.
Les musulmans qui passent à l’attaque ont pris l’habitude de demander leur religion aux quidams avant de porter un coup fatal, il y a bien peu de Français de souche historique musulmans.
Les médias autorisés, dans 70 à 90 % des relations d’agressions, ne donnent ni les noms, ni la religion, ni la couleur des agresseurs.
En revanche, quand il s’agit de Français historiques, c’est tout le pedigree de l’agresseur qui est relaté par le menu.
Par logique déductive, 70 à 90 % des agresseurs sont des gens de couleur ou de religion autre que l’habitant historique et/ou chrétien.
Ces éléments non contestables se recoupent du taux d’étrangers, de couleur, ou de religion musulmane, dans nos prisons, et de l’analyse du rapport d’activité de la gendarmerie 2017 fait par Xavier Rauffer, criminologue, qui estime que 80 à 90 % du pillage du pays est le fait de gangs étrangers.
Ainsi les crimes haineux contre l’Africain doivent être reconnus et poursuivis comme tel, mais pas les crimes haineux contre les Européens historiques blancs.
Les Européens sont également priés d’abdiquer leurs pratiques culturelles historiques :
« 18. invite les États membres à dénoncer et à décourager le maintien de traditions racistes et afrophobes ».
Tout cela au motif du paragraphe G. « considérant que la persistance de stéréotypes discriminatoires dans certaines traditions européennes, comme la pratique consistant à se noircir le visage, perpétue des idées préconçues bien ancrées au sujet des personnes d’ascendance africaine, et peut ainsi exacerber les discriminations ».
Ici on pose les questions : Eschyle était-il afrophobe ??? Qu’est-ce que l’afrophobie, qu’est-ce qu’une tradition raciste ? Peut-on être afrophobe sans le savoir comme Monsieur Jourdain faisait de la prose ?
Compte tenu de ces résolutions, chaque citoyen européen est en droit de s’interroger.
En mai 2019 ont lieu les élections européennes.
Mais s’agit-il d’élire des eurodéputés qui représenteraient et défendraient les intérêts des Européens, ou s’agit-il d’élire des afrodéputés qui vont défendre les Africains destinés à remplacer les Européens ???
Chacun aimerait bien savoir, avant de mettre le bulletin dans l’urne, ce à quoi il s’engage et engage ses enfants et petits-enfants.
Il faut que chaque électeur pose directement la question aux prétendants de sa circonscription, et obtienne une réponse claire.
Ensuite je propose que soit prévu un droit de révocation immédiat des élus au parlement européen si l’engagement de défendre les intérêts européens n’était pas respecté par exemple, et que soient organisées sans délai dans cette hypothèse de nouvelles élections.
Je propose également la création de la qualification pénale de crime pour haute trahison applicable à tout élu européen qui irait défendre les intérêts d’agents de puissances étrangères au détriment des intérêts des Européens, la sanction pouvant aller jusqu’à la peine de mort puisque nous sommes en guerre, et qu’en ce moment la Chine et les USA sont en train de négocier un Yalta économique de la planète à nos dépens.
Enfin, on peut l’affirmer, au vu des résolutions du parlement européen du 26 mars 2019 complétées de l’avis du Conseil économique et social européen du 22 mars 2019 : plus personne ne devrait avoir le droit de dire que le Grand Remplacement est une vue de l’esprit ou une simple thèse.
C’est une réalité planifiée.
Quiconque, politique ou journaliste, oserait maintenant soutenir le contraire, tomberait immédiatement sous le coup de propagation de « fake news » en période électorale.
Jean d’Acre
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