mercredi 10 avril 2019

Traite négrière du XXIe siècle : crime contre l’humanité

Si le grand remplacement initié après guerre constitue une violation majeure du droit des peuples autochtones d’Europe et de France en particulier, la récente et honteuse traite négrière qui sévit depuis quelques années au détriment des peuples d’Afrique relève de la violation du droit de la Personne Humaine et, pour les acteurs et complices les plus impliqués, du crime contre l’humanité. Des milliers de familles africaines en sont victimes qui ont tout sacrifié et perdu un être cher en mer ou dans les déserts.

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SOS Méditerranée se plaint auprès du ministre CASTANER
Chers amis vous trouverez ci-joint copie du courrier qu’a adressé cette ONG au Ministre CASTANER après que celui-ci ait dénoncé les méfaits des organisations liées aux passeurs.
https://mailchi.mp/017c67d2fe20/lettre-ouverte-m-castaner?e=2a78c98ff1
On se demande bien pourquoi cette ONG, que le ministre n’a pas nommément désignée, juge utile de se justifier et de se plaindre de cette manière. Se sentirait-elle visée et pourquoi parle-t’ elle d’atteinte à son honneur ?
Au delà du lien avéré avec les passeurs, nous dénonçons la responsabilité des organisations négrières pour les milliers de morts en Méditerranée.
Un trafic organisé, une chaine solidaire d’intervenants et de complices de ce crime contre l’humanité.
Le trafic humain auquel nous assistons à travers la Méditerranée occidentale ne résulte pas d’une mise en mouvement spontanée. Bien au contraire, tout a été fait pour créer là-bas les conditions du départ, du déracinement et de la prise de risque inconsidérée. Cela est parfaitement documenté en Afrique même.
Lutte contre la migration africaine
Parallèlement, tout est fait depuis ici pour créer un puissant appel d’air et pour propager l’image fallacieuse d’un eldorado où tout serait facile. Voyage tragique qui se finit en cadavre desséché au bord d’une piste, esclave en Libye, prostituée, violée, coulé au fond de l’eau ; et pour ceux qui arrivent à passer, le terminus se trouve dans ces pourrissoirs que sont les jungles, sous les ponts ou des tentes de fortune et, pour les plus chanceux, esclaves non déclarés à la plonge d’un restaurant, à fond de cale, entassés dans des logements insalubres loués à prix d’or par des marchands de sommeil. D’autres encore incapables de s’adapter et devenus fous finissent auteurs de crimes épouvantables : terroristes, de droit commun ou par démence pure et simple.
Une véritable chaine de criminels tous solidaires s’est donc mise à l’oeuvre commanditée par les tenants de la mondialisation à leur seul profit et au détriment des peuples d’Europe et d’Afrique.
Cette chaine solidaire dans le crime comprend :
Les commanditaires et bénéficiaires finaux de ce trafic, c’est à dire les dirigeants des grands groupes de la mondialisation.
Les dirigeants politiques qui appliquent à la lettre leurs consignes et créent les conditions objectives de ce trafic encore qu’ils cherchent désormais à le régulariser et à le normaliser.
Les dirigeants européens qui ont décidé et commandité la destruction de la Libye.
Les organisateurs et opérateurs directs du trafic. Ceux qui ont conçu et fait dessiner ces canots pneumatiques mortels sans autre application maritime que ce trafic, ceux qui les ont construits, ceux qui les ont approvisionnés jusqu’en Libye.
Les réseaux de passeurs à travers le Sahara.
Les transporteurs maritimes finaux sous fausse bannière humanitaire, leur soutiens, leurs financeurs.
L’horreur absolue, la matérialité des faits.
Le nombre exact des victimes de ce trafic en Méditerranée occidentale n’est pas connu, mais on parle de dizaines de milliers et jusqu’à 50 000 victimes dans les évaluations les plus pessimistes, sans doute les plus réalistes ; cela sans compter les milliers de morts dans les déserts et dont le compte ne pourra jamais être établi.
Les images en disent plus qu’un long discours. Voici ce qu’il se passe quand des malheureux ont été poussés à se jeter à l’eau sans aucun recours ni garantie de la part des trafiquants et plus encore, de leurs complices en mer.
Rien d’accidentel, tout est provoqué.
Il n’y a rien d’accidentel dans ces faux naufrages provoqués par des irresponsables qui poussent ces malheureux à se jeter à l’eau dans des conditions aussi précaires.
Combien d’enfants livrés à des prédateurs sexuels pour payer leur passage ?
Combien de femmes contraintes à la prostitution ou violées.
Combien d’hommes, de femmes, d’enfants réduits en esclavage tout au long du trajet en Afrique ?
Quel ratio de pertes collatérales en mer pour un migrant livré à bon port ?
Tous les commanditaires, acteurs et complices de cette infamie devront être mis devant leurs responsabilités.
Déjà les premières poursuites sont engagées, d’autres suivront.
https://www.romandie.com/news/Grece-la-police-met-en-cause-une-ONG-pour-aide-a-l-immigration-irreguliere/948980.rom
De la même manière que la SNCF a été poursuivie et condamnée pour sa prestation de transport dans ce drame que fut la Shoah, la responsabilité des convoyeurs finaux en mer devra être recherchée.
Les noms, l’obligation mémorielle.
Déjà, le quotidien communiste italien ‘’il manifesto’’a pu établir une liste de 34 361 noms de personnes mortes en Méditerranée.
https://www.courrierinternational.com/une/il-manifesto-publie-les-noms-des-34-361-migrants-morts-en-mediterranee
De part et d’autre de la mer, en Italie et en Tunisie, des milliers de corps ont été recueillis et ensevelis. Combien d’autres resteront à jamais sans sépulture et les familles dans l’impossibilité de faire leur deuil. Pourtant, selon le Droit international relatif aux droits de l’Homme, les États sont en tenus d’élucider le sort des personnes disparues, et de respecter le droit des familles « à savoir ».
https://information.tv5monde.com/info/migrants-identifier-les-morts-faire-le-deuil-242920
Par ailleurs, du fait de ces trafiquants, nous nous retrouvons maintenant chargés d’une obligation mémorielle à l’endroit de leurs victimes qui devra être consignée devant l’Histoire. Elle devra avoir pour contrepartie la condamnation pénale des organisateurs et collaborateurs directs de ces déportations induites par une gigantesque manipulation de masse.
Dénonciation des faits, honneur du peuple de France.
On sait les mauvais procès qui sont faits des siècles après à des peuples totalement étrangers à certains crimes. Tel est le cas du peuple de France injustement accusé d’esclavagisme et de traite négrière par le passé. Nos ancêtres très majoritairement analphabètes et perdus dans les campagnes de France ne savaient rien de ce qui se passait à La Rochelle, Nantes ou Bordeaux. Ils n’étaient responsables de rien. Seules certaines familles étaient concernées et savaient. Pourtant, aujourd’hui l’opprobre est jeté de manière indifférenciée sur nous tous de manière totalement injuste.
Cela ne doit pas se reproduire. Aujourd’hui nous savons, tous les moyens sont à disposition et nul ne peut en ignorer. Par conséquent, il est de notre devoir et de notre honneur de dénoncer en temps réel les crimes contre l’humanité dont nous avons connaissance.
Nous devons les consigner et les faire reconnaître devant l’Histoire.
Personne ne doit plus pouvoir dire qu’il ne savait pas.
Qualification du crime.
La définition du crime contre l’humanité est nécessairement évolutive tant le génie des criminels est immense pour sans cesse en élargir le champ. Cependant, l’article 7 du statut de la CPI en donne une définition ouverte. Les éléments constitutifs peuvent être les suivants :
le meurtre.
l’extermination.
la réduction en esclavage.
la déportation ou le transfert forcé de population.
l’emprisonnement ou autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international.
la torture.
le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable.
la persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence de la Cour.
la disparition forcée de personne.
le crime d’apartheid.
d’autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.
La question de l’élément intentionnel.
L’élément intentionnel est parfaitement avéré pour les commanditaires de ce trafic. Il sera établi pour les convoyeurs finaux sous fausse bannière ; notamment au regard de leur parfaite connaissance en temps réel des conséquences directes de leur contribution. C’est à dire des disparitions en mer qu’ils ont vues, filmées et médiatisées, et néanmoins persisté à provoquer en créant un faux espoir, une fausse garantie et en incitant ces malheureux à prendre tous les risques pour se jeter à l’eau.
http://www.sosmediterranee.fr/?gclid=CjwKCAjwqLblBRBYEiwAV3pCJhMS6ZZgCw3ZpkWZxvWnd_ZhElpyF5vu-q_lSUHcPksnFyRFrFEtTBoCzVUQAvD_BwE
En ce sens, ces organisations ne peuvent invoquer ni leur innocnece, ni leur absence d’intention ; ce d’autant qu’avec le plus parfait cynisme elles ne manquent pas d’afficher sur leurs sites les morts par noyade pour justifier leurs interventions. Ou quand le criminel justifie son crime par ses propres victimes : pousser les gens à se noyer pour justifier d’aller les chercher. Car c’est bien dans ce sens que doit se lire la funeste intervention de ces organisations.
On lira le rapport d’activité de cette ONG ultra bénéficiaire qui fait apparaître un bénéfice cumulé à fin 2017 égal à : 1 642 222 € pour 17 mois d’exercice. Aucune communication à fin 2018.
http://www.sosmediterranee.fr/journal-de-bord/communique-20112018-waste
Le droit des africains à une cour pénale dédiée.
S’agissant d’un crime bien spécifique et surtout bien circonscrit, nous appelons à la création d’une cour pénale spéciale dédiée à la sanction de la traite négrière du XXIème siècle.
Rien ne se perd, toutes les traces et les preuves existent. Il appartient désormais aux éléments les plus conscients et les plus déterminées des peuples d’Afrique d’exiger la constitution de cette cour sur leur sol.
Ils peuvent compter sur les hommes de bien, de ce côté-ci de la Méditerranée, pour les y aider.
À la différence de nos ancêtres lors de la traire négrière sous l’ancien régime, les français du XXIème siècle savent et doivent savoir ce qu’il se passe et le dénoncer.
On ne nous accusera pas dans des siècles d’avoir été responsables de la déportation des peuple d’Afrique. Les seuls responsables sont les organisateurs, les contributeurs et les bénéficiaires de cette moderne traite négrière.
Solidarité des peuple victimes des migrations forcées.
Le peuple de France ne porte aucune responsabilité. Bien au contraire, il est lui-même victime du Grand Remplacement qui détruit son identité et sa culture.
En ce sens, il est solidaire des peuples d’Afrique qui sont instrumentalisés dans une politique mondialiste qui après les avoir ruinés les pousse à la noyade.






Le business migratoire
Par Samir ABI
Kongokonferenz 1884 / Franz.Karikatur - Congo Conference 1884/ French caricature -
C’est l’affaire qui rapporte le plus à l’heure actuelle : le business migratoire. Des réseaux mafieux en Italie aux passeurs libyens en passant par les sociétés de sécurité à Calais en France ou sous traitant dans différents pays d’Europe avec les opérations du FRONTEX, le système est bien huilé. Les Etats ne sont plus du reste dans ce nouveau business florissant. Après le chantage turc des 6 milliards d’euro c’est au tour du Niger de demander 1 milliard d’euro pour contribuer à lutter contre la migration clandestine[1]. Comme dans toute négociation internationale le poids du pays intervient dans la suite donnée à toute demande et la réponse de l’Union Européenne ne s’est pas faite attendre. Arguant des 20 milliards d’euro donnés annuellement aux 54 pays africains comme aide publique au développement et de la goutte des 1,8 milliards du fonds fiduciaire qui ne cesse de meubler le discours européen ces derniers mois. En réalité l’Europe continue un vieux jeu déjà expérimenté avec les pays du Maghreb et la Libye. Kadhafi, au  dernier moment de sa gloire, lors du sommet Europe   Afrique à Syrte en novembre 2010, s’était déjà servi des migrants comme instrument de chantage en se présentant comme le seul rempart au déferlement des subsahariens en Europe et en demandant 5 milliards d’euro pour les basses besognes[2]. La suite de l’histoire, tout le monde la connait. Le drame dans l’histoire est qu’on se refuse de nommer ce business auquel les Etats se livrent au dos des migrants de son vrai nom : Trafic d’être humain. En effet autant que les réseaux mafieux, les Etats s’adonnent à un honteux marchandage au détriment de lois internationales protégeant les droits humains à la mobilité et à l’asile. Marchander la liberté de mobilité des hommes n’est rien d’autre que du trafic même si on essaie de le présenter comme la solution au drame en Méditerranée.
Pour tout humaniste cette solution, qui met l’argent au dessus des libertés humaines, ne peut-être une solution viable. Même si ce discours peine à être entendu il reste toujours nécessaire de rappeler que la meilleure solution pour éviter des morts dans les mers aux frontières reste l’établissement d’une véritable politique de libre circulation. Si les migrants peuvent se payer leur voyage dans les déserts du Sahara comme au Mexique, ou pour joindre la Grèce c’est qu’ils peuvent se payer un séjour si on leur donne la possibilité de pouvoir se rendre librement dans un pays. Tous les espaces de libre circulation aussi bien en Afrique de l’Ouest, qu’en Europe ont démontré que l’ouverture des frontières n’est pas synonyme d’invasion mais multiplie les opportunités de développement pour les hommes comme pour les pays. Les Français sont autant en Belgique pour poursuivre leurs études que les Belges en Allemagne ou au Luxembourg à la recherche d’un emploi. Les nigérians parcourent aussi bien le corridor Lagos Abidjan que les ivoiriens. Depuis trente ans ces expériences de libre circulation même partielle sont là pour nous prouver que nous pouvons construire un monde autour de la libre mobilité. Le nouveau discours sécuritaire qui présente la fermeture des frontières comme un gage de lutte contre le terrorisme permet juste de cacher la responsabilité profonde des Etats européens dans l’augmentation de groupes extrémistes au sein des populations nées en Europe mais qu’ils n’ont pas su intégrer. Même problème en Afrique où le lot des terroristes se retrouve dans les groupes discriminés des touaregs et des peuhls. Cela nous ramène au vrai débat sur la sécurité sociale et l’inclusion comme seule gage de la sécurité pour tous. Malheureusement à l’heure de l’économisme et de la religion du tout marchand, il faut que cela paye pour que ce soit digne d’être défendu.
Le paternalisme européen
On le croyait révolu au nom d’un nouveau discours sur un partenariat égalitaire. Le voilà de retour. Telle est la belle leçon des dernières visites à répétition des ministres des affaires étrangères européens en Afrique. En moins de trois semaines, les pays du Sahel ont eu droit aux visites des ministres hollandais, français et allemand tous émissaires de Federica Mogherini, la chef de la diplomatie européenne, pour venir rappeler les engagements de La Valette aux Chefs d’Etat Africain. Passe encore le conseil des ministres Afrique Caraïbe Pacifique – Union Européenne tenu, dans la même période, à Dakar, avec ses beaux discours sur la migration et les Accords de Partenariat Economique au moment où les citoyens européens ne cessent de se mobiliser contre le Trans-Atlantic Free Trade Agreement (TAFTA).
L’Europe unie met la pression sur l’Afrique et en particulier les pays sahéliens et distribue les médailles. Le Sénégal est ainsi qualifié de « Bon élève » par les ministres européens pour sa politique migratoire. Quand pense les citoyens sénégalais ? Eux qui dépendent tant de leur diaspora avec 1 milliard 614 millions de dollars (plus de 921 milliards de Francs Cfa)[3] reçu l’année passée de ses migrants. Si les politiques en Europe restent tributaires de l’opinion de leur citoyen pour leur politique migratoire telle n’est pas encore le cas en Afrique. Les politiques migratoires dans les pays africains comme bien d’autres politiques d’ailleurs sont faites par les dirigeants pour mériter le titre de « Bon élève » décerné par l’Europe sans que l’opinion du peuple et la voix de la société civile africaine ne soit prise en compte.  Triste démocratie pourtant vendu par l’Europe comme gage de son partenariat égalitaire avec l’Afrique. Le Niger est prié de devenir un « Bon élève » en contrôlant des migrants moyennant les 50 milliards de Franc Cfa du fonds fiduciaire européen alors qu’elle reçoit depuis cinq ans en moyenne 70 milliards de Francs Cfa[4] par an de sa diaspora sans compter toute l’économie que crée le passage des migrants. Le calcul est vite fait. A moins qu’on cède au chantage et qu’on lui donne un milliards d’euro ou que l’on fasse chanter ses dirigeants pour des problèmes de gouvernance et de démocratie.
La CEDEAO des peuples
Et comme toujours les pays africains se refusent de le jouer solidaire et en y allant seul au risque de faire briser le cou par une Europe qui se mobilise en force. On l’a bien senti avec le Ministre Koenders et on l’a encore mieux compris avec la visite conjointe des ministres allemand et français,  Frank-Walter Steinmeier et Jean-Marc Ayrault. La Communauté Economique Des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) semble jouer les observateurs face à ce ballet diplomatique incessant des acteurs européens dans les pays du Sahel préférant s’accrocher aux promesses d’argent à recevoir du fonds fiduciaire pour sécuriser les frontières. Le risque c’est de voir un peu plus la fragile union entre pays sahéliens et pays côtiers ouest africains se briser au jeu des intérêts. En effet la concurrence entre pays se développe pour pouvoir attirer le plus possible l’aide européenne au développement ou plutôt l’aide européenne contre la migration comme l’a rappelé Neven Mimica, le commissaire européen au développement, en marge de la réunion ACP-UE de Dakar[5].
La société civile multiplie, sans succès, les appels pour une CEDEAO forte pour un dialogue politique réel entre l’Europe et l’Afrique pouvant aboutir à des accords de libre mobilité comme c’est le cas entre l’Europe et plusieurs pays d’Amérique latine. La CEDEAO des peuples telle que proclamée à toutes les rencontres des chefs d’Etat de cet espace reste un vœu qui demeure au niveau institutionnel et qui tarde par se matérialiser par des instruments réels d’interaction entre les peuples ouest africain et les institutions de la CEDEAO. En effet tant que le parlement de la CEDEAO ne sera pas élu directement par les citoyens de l’espace, tant que toutes les décisions se prendront entre chefs d’Etat sans des référendums nationaux pour les valider et qu’un contrôle citoyen ne sera pas effectif sur le fonctionnement des institutions communautaires, la voix des peuples ouest africains ne sera jamais entendue. Il nous reste donc l’ultime outil des peuples sans voix : la mobilisation.
[3] World Bank remittances data april 2016
[4] World Bank remittances data april 2016

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